Les Britanniques à la conquête de la France
Ce n'est pas un match de rugby (nous l'avons perdu) ni une attaque de nos côtes ! Mais en seulement une quinzaine d'années, le nombre de sujets de Sa Gracieuse Majesté installés chez nous a explosé, multiplié par plus de dix et passant à environ 500.000 personnes aujourd'hui, soit presque 1% de la population française. Et ce ne sont pas seulement de riches retraités qui viennent finir leurs jours au soleil, il y a également des jeunes et de nombreuses familles qui viennent vivre, avec enfants, et travailler en France. Beaucoup se lancent dans une activité indépendante, souvent d'hébergement type maison d'hôte ou de débit de boisson façon "Pub". Incorrigibles, ils importent leur façon de vivre et suggèrent que nous y adaptions; quant à la langue de Shakespeare, ce serait tellement plus simple que nous l'adoptions. Ils sont majoritairement présents dans nos campagne mais n'oublient pas nos villes, ni le bord de mer (les compagnies low cost sont passées par là).
> In soltanto quindici anni, il numero degli inglesi installati in Francia è stato moltiplicato per 10. E non sono solo ricchi pensionati ma anche molti giovani e famiglie con bambini che vengono a vivere e lavorare in Francia. Importando il loro modo di vita, suggeriscono che i francesi si mettono alla lingua di Shakespeare, Per la maggior parte, si trovano nella nostra campagna; c'è ne sono altri nelle nostre città o coste, grazie alle compagnie aeree a basso costo.
> This is not a rugby match (we lost the last) nor an attack of our coasts ! But in just fifteen years, the number of british subjects installed in France has been multiplied by 10, to reach about 500,000 today. They are not only retirees people but also many young people and families with children, coming to live and and to work in France. Importing their way of life, they suggest that we may adapt to the language of Shakespeare. Mostly go in our campaign where they engage an activity.
1 commentaire:
et heureusement qu'ils sont là les british (et les autres italiens, scandinaves ...), c'est toute l'économie de la côte d'azur qui en a besoin
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